Soiree dans la foret

RP precedent: "Chambre d'Aredhel: l'appel de la lune" https://thedeadworld.forumsrpg.com/le-chateau-f42/-p229.htm#229

Aredhel survole la forêt et vient se poser sur les branches d’un chêne. Apres avoir scruté les environs, elle se sépare du corps d’Algas et atterri sur le sol dans un mouvement souple, presque félin.

La jeune femme n’a pas le temps de souffler que deux créatures imposantes s’approchent d’elle dans son dos. Alors qu’elle tourne la tête, l’une des créatures lui saute dessus, la gueule ouverte, si grande qu’elle pourrait presque avaler la tête d’Aredhel en une seule bouchée. La demoiselle avec une rapidité exceptionnelle évite l’animal.

« Lurian, mon cher amour, même mes yeux bandés
Et mes pieds attachés, tu ne saurais un jour,
Sans un petit « Bonjour », peu avant prononcé,
Par chance m’enlacer ! Tu as bien de l’humour !»

Le loup blanc zébré à crinière rouge sourit avec malice et lèche la main de la jeune femme en guise d’affection.

Lurian et Lulys sont un couple de loups sauvages qu’Aredhel connaît bien puisqu’elle se livre avec eux à toute sorte d’expériences… Lurian, le male, apprécie plus que tout la compagnie de la jeune elfe, qui prend volontiers en charge certaine tâches, comme la fellation, que celui ne confierait pas a Lulys, vu la taille des crocs de la louve.

Aredhel se met donc a cette tâche, particulièrement ardue, a cause de la taille du membre de l’animal. Mais elle le fait avec une telle délectation que ses yeux crépitent de bonheur. Ensuite, c’est au sexe de la louve de recevoir des câlins d’Aredhel, alors que cette dernière se fait pénétrer alternativement par le vagin et par l’anus pour son plus grand plaisir. Pour finir, c’est lors d’une fusion animale, que tout trois arrivent au summum de leur orgasme. Aredhel, qui a fusionné avec Lurian, joue de son membre, nouvellement gagné, pour pénétrer la louve Lulys. Tout autour d’eux, les lucioles brillent, dansent et chantent pour célébrer leur communion, qui s’exécute dans leurs hurlements qui déchirent la nuit.

Avant de rentrer au chateau, Aredhel décide de se promener parmi les arbres, dont le feuillage touffu de printemps laisse a peine traverser les rayons de lune. Elle adore écouter les boudonnement des lucioles et autres mouches-a-feu, qui lui donnent un spectacle de couleur, comme un feu d'artifices. Elle adore sentir le léger vent lui apporter les odeurs nocturnes, fortes et épicées, qu'elle déguste comme des friandises.

Avant de partir elle profite un dernier instant de l'herbe froide et se couche, les yeux rivés vers ciel outremer qui tire peu a peu vers l'indigo.

Dayro venait tout juste d'entrer dans la fantastique foret du pays féérique. Il trottait tout en ardmirant le paysage fantaisique et majestueux. Dayro souhaite et espèrait trouver ce qu'il cherchait ici, cela lui ferait un grand bonheure. Même s'il aurait adorer vivre ici même dans cette foret, il avait une patrie a gouverner.

Dans les bois, le temps était humide et douc à la fois. Tout à coup, de plsu en plus que Dayro s'enfonça dans la foret, il pouvait percevoir une silhouette en particulier, il s'agissait d'une jeune femme peu vêtu mais d'une beauté sublime. Dayro n'ayant peur de peu de chose, s'approcha tranquillement de la jeune femme, il s'agissait surement d'une elfe songea le chef des sables.

Arriver à quelque pas de l'elfe, Dayro lança d'un ton calme et certain

" Bonjours, à qui ais-je l'honneur ? " Dayro s'agenouilla devant la femme en guise de première rencontre.

Dayro se demandait tout simplement qu'est ce que femme pouvait bien faire seul dans cette foret? Il attendait impatiemment la réponse de cette séduisante beauté.

Bien que distraite par ses derniers instants de liberté, Aredhel se rendit rapidement compte de la venue de cet inconnu, lorsqu’elle se coucha sur l’herbe. Dans la précipitation avec laquelle elle était venue, elle n’avait rien pour se défendre d’un éventuel agresseur, mais elle savait qu’il lui suffisait de devenir invisible pour lui échapper sans grand effort. Il n’était pas de son peuple à première vue, elle n’avait même pas une seule idée d’où il pouvait venir. Aredhel n’avait, à vrai dire, que très peu voyagé. Elle s’était déjà rendu à la capitale du peuple aquatique et de celui des plaines avec sa famille pour des raisons diplomatiques, mais son amour pour la foret féerique la dissuadait bien de s’expatrier en d’autres lieux.

Voyant que cet homme ne lui voulait apparemment aucun mal et qu’il venait même s’asseoir auprès d’elle, elle sourit doucement d’un air malicieux à sa question.

"Bonsoir mon cher Monsieur, mon nom est Aredhel."

Elle eu un moment de silence, se rendant compte qu’elle avait donné son vrai a cet inconnu. Une erreur qu’elle n’aurait généralement pas faite, afin de préserver son secret. Mais pour une obscure raison, cet étranger lui inspirait confiance.

"Avez-vous déjà vu une nuit aussi belle ?
Cette exquise forêt, ou l’oubli si plaisant
Revigore nos cœurs de parfums si poignants,
Ne devient que plus noble à la lueur lunaire.
Dites-moi étranger, ou est donc votre terre ?"

Dayro était assis a ses côté et il regardait le ciel tout comme elle. Quelle est dit son nom à un parfait inconnu l'a bien surpris. Mais cela signifiait pour lui qu'il pouvait lui faire confiance. Dayro souris à la réplique de sa nouvelle connaissance et enchaîna

" Ma terre se situe dans le pays désertique chère dame. Et vous ?"

Même s'y son origine lui semblait évidente, tout ses mots en plus fesait faire la conversation. Évidament, elle ignorait totalement sa place au trône car Dayro n'aime pas crier sur le toit son titre dans son pays. Il n'est jamais asser prudent des dangers.

Après les quelques paroles de Dayro, un silence se fut et il attendit la réponse de la voix douce d'Aredhel

"Mon pays est celui dont vous foulez le sol."

Un silence s’installa. Aredhel humait l'air, on pouvait sentir l'odeur des premières fleurs qui s'ouvrait dans le matin clair. Le ciel commençait à virer du rose à l'orange.

Mais soudain ce qu'elle vit dans le ciel, ou plus précisément ce qu'elle n'y vit plus, l'arracha violement de ses songes. La lune avait quitté la scène et laissait derrière elle une série de questionnement: Aredhel n'était pas sensé être dehors, personne ne l'avait vu sortir et sa fusion animale avec Algas ne pouvait avoir lieu sans la lune. Des réprimandes étaient déjà en vue... et un petit cri aigu lui échappa.

Elle regarda l'homme assis à coté d’elle, qui ne lui avait même pas donne son nom, se demandant si elle pouvait lui demander un service. Apres tout il comprendrait sûrement, et puis elle n’était pas obligée d’expliquer ses raisons en détails, ni de mentionner son staut par précaution.

"Voici que dans le ciel parait l’autre boussole
Je nomme le soleil et son rouge lever.
Comprenez que mon père est l’un des cuisiniers
Au château du pays, et de mon escapade
Serait vraiment furieux, raterai sa dorade
Et tous ses autres plats. Les gardes ne m’ont vu
M’échapper par les toits de lumières dépourvus.
Maintenant que le soleil perce les blancs nuages,
Je n’ai plus face au garde un bien grand avantage.
Puis-je vous demander d’assister ma mission ?
Et je vous aiderai dans l’une de vos actions."

Dayro était encore surpris par les rime de la jeune elfe.Effectivement Dayro devait faire avancer s quête personnelle et elle lui offrait son aide à la demande dce la sienne. Il accepta joyeusement. Il aime rendre des service même si ceux ne son pas rendu.

" Oui, j'accepte. Vosu n'avez qu'à dicter votre mission. En passant je me nomme Dayro Zalera. Pour votre simple information"

Aredhel remercia Dayro, se leva un seul bond déterminé puis indiqua le chemin à suivre à travers la forêt.

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